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15 décembre 2023

Des plans d’action bien vivants et au service de notre communauté!

Lorsque nous sommes amenés à travailler sur des enjeux qui touchent nos citoyens, dans la majorité des cas, un plan d’action est élaboré. Tandis que certaines actions peuvent être menées à court terme, d’autres nécessitent une planification et une concertation.

Pour ma part, deux plans d’action dont j’ai la responsabilité me tiennent à cœur. Dans un premier temps, le plan d’action de développement d’une vision 2030 du secteur Saint-Joachim, élaboré en 2020, est l’aboutissement d’un travail rigoureux de réflexion et de concertation avec les citoyens. Ce plan est pour moi un outil quotidien qui guide mes réflexions, mes choix et mes positions. Il est composé de trois axes qui se déclinent en 12 actions pour lesquels je peux affirmer aujourd’hui que plus du tiers est soit complété ou en cours d’exécution. Pensons au déploiement de la fibre optique, au développement du parc régional de la Fôret Drummond, au réaménagement du parc des Rapides-Spicer, à l’arrivée du Marché du Belvédère ou à tout le travail en cours entourant le réaménagement d’un espace communautaire adéquat, fonctionnel et en synergie. Voir la communauté mobilisée et dynamique est pour moi une motivation de plus à garder bien vivant ce plan d’action.

Au-delà de l’évolution des quartiers qui nous entourent, un enjeu d’envergure auquel nous faisons face actuellement est la pénurie de logements. À titre de présidente du Chantier de suivi du plan d’action en habitation, le plan d’action découlant de la politique dont s’est dotée la ville en 2021 est pour moi une priorité. À l’aube de cette première année d’accomplissement de ce plan d’action, nul n’est sans douter que les enjeux et les besoins sont grands, mais aussi très complexes. À titre d’élue, je considère que c’est notre rôle aujourd’hui d’agir comme vecteur de changement. Il faut poursuivre la sensibilisation et l’éducation aux nouvelles façons de densifier, d’intégrer et de développer afin de permettre à tous d’avoir un toit sur la tête et minimiser le plus possible le phénomène du « pas dans ma cour ». Puisqu’au-delà de la problématique, il y a aussi toute la responsabilité sociale qui incombe à tous.

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